Les Pluies ne durent jamais en Écosse

Une rencontre dans un aéroport entre un écrivain et un lecteur se poursuit sous forme de correspondance amoureuse, que le destinataire ne recevra jamais.

Photo by v2osk / Unsplash

Bruxelles. Menton. Édimbourg. Les amants passent. Le besoin reste.

Ce premier roman a été publié pour la première fois en 2006 par les Éditions Romaines. La maison d’édition a disparu en 2013 dans des circonstances… romanesques. J’ai donc récupéré mes droits (jamais perçus) et décidé, après quelques corrections, de rendre le roman disponible aux formats e-book et broché via Amazon.

Depuis le mois d’octobre 2018, il est également disponible à prix modique auprès de Kobo, de la Fnac et sur l’iBook Store. Tous les liens ci-dessous dans le paragraphe “Acheter le roman“.

La version disponible sur Amazon et Kobo est une édition révisée datant d’octobre 2018.

Extrait

« Vous m’avez confié une adresse électronique semble-t-il erronée, peut-être sans le vouloir, ce dont je doute. Votre inconscient a probablement corrigé les idées lubriques que je vous inspirais. Je vous écrirai partout où j’irai désormais. Je vous ai capturé. Vous appartenez à mon récit.»

Quelques avis sur le livre

« C’est un roman soigné, d’un côté, désordonné de l’autre, comme le sont les pensées, les désirs, la vie. Il y a l’amour des mots, dont l’auteur joue, un peu, beaucoup, à la folie. Il en fait ce qu’il veut, pour aller au plus près de ce qui doit être dit, sans doute. Il les taquine, attente à leur pudeur, les entreprend, bouleverse l’ordre, advienne que pourra, qui lira verra. »

Asteline
« Cédric allie une plume impeccable à un sens aigu du réel, j’ai beaucoup aimé cette alternance entre propos abstraits et considérations pragmatiques. Son style, riche et souple, donne une bonne fluidité au récit même si certaines maladresses viennent un peu le grever de temps en temps. Un très beau premier roman. »

Matoo
« C’est un roman soigné, d’un côté, désordonné de l’autre, comme le sont les pensées, les désirs, la vie. Il y a l’amour des mots, dont l’auteur joue, un peu, beaucoup, à la folie. Il en fait ce qu’il veut, pour aller au plus près de ce qui doit être dit, sans doute. Il les taquine, attente à leur pudeur, les entreprend, bouleverse l’ordre, advienne que pourra, qui lira verra.» –

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